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Le député Cousineau exhorte Hydro-Québec à s’asseoir une dernière fois

Projet de ligne à 120 kV

Publié le 23 août 2017 par In Médias

Le député péquiste responsable des Laurentides, Claude Cousineau, estime que la société d'État devrait faire preuve d'ouverture d'esprit en s'assoyant au moins une dernière fois avec la municipalité de Saint-Adolphe-d'Howard dans le dossier de la ligne électrique à 120 kV.

Claude Cousineau - Photo TC Media - Archives

Le député péquiste responsable des Laurentides, Claude Cousineau, estime que la société d’État devrait faire preuve d’ouverture d’esprit en s’assoyant au moins une dernière fois avec la municipalité de Saint-Adolphe-d’Howard dans le dossier de la ligne électrique à 120 kV.

“Nous n’en voulons pas au ministre Pierre Arcand”, précise M. Cousineau. “Ce n’est pas contre lui que notre action est dirigée. Tout ce que nous demandons, c’est l’intervention du premier ministre Philippe Couillard auprès de la société d’État afin qu’elle reçoive et regarde le nouvel avis technique présenté par la municipalité de Saint-Adolphe-d’Howard (appuyé par la MRC des Pays-d’en-Haut) qui propose l’enfouissement d’une partie de la ligne à 120 kV du projet Grand-Brûlé-Dérivation Saint-Sauveur.”

“Je ne suis pas pour ou contre l’enfouissement de la ligne. Tout ce que nous demandons, c’est de se donner une dernière chance, tout le monde ensemble, afin d’améliorer le projet sur la table”, ajoute le député de Bertrand.

Le PQ a fait sa part

En réponse aux reproches du ministre Arcand qui affirme que le Parti québécois n’a rien fait dans ce dossier lorsqu’il était au pouvoir, M. Cousineau rappelle qu’il a remis personnellement une lettre de la mairesse Lisette Lapointe au premier ministre Couillard, le printemps dernier, demandant une rencontre avec lui dans cette affaire.

Il rappelle aussi que l’ex-député d’Argenteuil, Roland Richer, a toujours appuyé la municipalité de Saint-Adolphe-d’Howard dans ses démarches. Rappelons enfin que l’ex-ministre des Ressources naturelles de l’époque (une ex-employée d’Hydro-Québec), Martine Ouellet, avait rencontré les membres du comité aviseur au début de la crise, tout en démontrant une certaine ouverture dans ce dossier. Les libéraux ont pris le pouvoir peu de temps après.

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